Quoi d'neuf Docteur ?

Du temps, du temps… Passer l’épreuve du temps, du temps…

QUOI D’NEUF DOCTEUR ?

Eh oui, en cette année 2011 j’ai, ma foi, repris une habitude que j’avais plus ou moins perdu ces dernières années, légèrement obnubilé par les inédits. J’ai décidé de revenir à quelques bons vieux fondamentaux, à redécouvrir certaines séries… Bref, à me faire mes propres rediffusions. De toute manière, c’eut été dommage si mes chers coffrets (relativement chers parfois) ne servaient finalement qu’à prendre la poussière et ne pas servir ! Donc voilà, depuis ma petite crise (ou baisse blogo-téléphagique), je me suis enfilé plusieurs séries, plutôt des intégrales (Dawson, Brothers & Sisters, Kyle XY…) et dernièrement, quelques petites remises à niveau avant d’entamer les prochaines saisons. Je me suis donc refait une petite cure de Torchwood avec les 3 premières saisons et en enchaînant sur la quatrième, et de revoir le Capitaine Jack Harkness m’a donné envie de revoir le Docteur. Chose que je n’avais pas encore fait malgré l’affection que je peux porter à la série. Ces deux visionnages, particulièrement, m’auront fait constater deux choses. D’une part, que décidément, quand une saison est bonne elle ne perd pas de sa force au revisionnage. Et la saison 3 de Torchwood en est un magnifique exemple. Je crois qu’elle était encore plus forte en sachant vers quoi on se dirigeait. Mes petites mains en tremblent encore.

D’autre part, que j’ai plus apprécié la saison 5 de Doctor Who qu’au premier abord (idem d’ailleurs pour les épisodes spéciaux qu’il y a eu entre les saisons 4 et 5). Certes, c’est un constat que j’ai fait depuis longtemps, sur diverses séries, mais c’est toujours bon de se le rappeler et de voir que c’est encore valable. Ok, Eleven, je l’aime moins que Ten. Ok, j’ai été un peu moins ébloui par l’ensemble mais bon… Je me suis aperçu que certains thèmes musicaux étaient finalement marquant… Et que la petite Amy était toujours aussi sympathique. A contrario, les deux premières saisons de Doctor Who m’ont paru un brin plus fades que dans mon souvenir. Enfin, surtout la deuxième. Oh, elle est très loin de démérité, hein, mais je lui ai nettement préféré les deux suivantes. Plus haletantes. Peut-être encore plus abouties. Et décidément, je n’arrive pas à ce que Martha Jones m’énerve comme elle en a énervé tant d’autres à l’époque. Enfin bref, un premier baptême du feu relativement réussi pour ces deux séries qui passent plus ou moins pour la première fois à l’épreuve du temps… C’est-à-dire mon revisionnage. Et je pense que ce n’est qu’une première fois. En 2012, et même si ma liste de séries à voir s’allonge, je pense encore continuer ces petits moments de plaisirs. Libres. Où je n’ai plus à me préoccuper d’écrire quoique ce soit dessus (comme je ne me suis pas préoccupé d’écrire des trucs sur des choses qui m’inspiraient peu à l’époque comme Private Practice par exemple).